La chanteuse Katy Perry poursuivie en justice par⬦ Katie Perry
4 décembre 2020 à 15h10 par A.L.
L'Australienne Katie Perry a porté plainte contre la chanteuse Katy Perry.
Crédit : Capture d'écran Instagram © Katy Perry
Non ce n'est pas une blague. La chanteuse Katy Perry se retrouve confrontée à la justice australienne à cause d'une plainte déposée par une femme prénommée... Katie Perry !
Cette histoire invraisemblable remonte à octobre 2019 lorsqu'une styliste australienne nommée Katie Perry a porté plainte contre la superstar américaine Katy Perry pour "contrefaçon de marque". La jeune femme reproche à la chanteuse d'utiliser le nom Katy Perry sur ses produits de merchandising vendus en Australie. En effet, en plus de ses albums et ses places de concert, la fiancée d'Orlando Bloom vend des goodies à ses fans par le biais de son entreprise Killer Queen LLC. Or, ces produits qui sont proposés en dehors des frontières américaines posent problème à l'Australienne Katie Perry qui dénonce une concurrence déloyale en raison d'un nom "substantiellement identique ou faussement similaire" à sa propre marque.
Si les audiences préliminaires du procès ont commencé en novembre dernier, la styliste Katie Perry a de son côté créé sa marque en novembre 2006, avant de déposer le nom de sa compagnie en Australie en septembre 2018. "Nous dénonçons une contrefaçon sur un large éventail de produits", a indiqué Richard Cobden, avocat de Katie Perry. Il a d'ailleurs précisé que la vente de certains produits, comme des dessous de verre ou des poupées Barbie n’étaient pas mis en cause par la styliste, mais que d’autres, comme des pyjamas ornés de pizza, des colliers en forme de pizza ou des oreilles de chat, étaient quant à eux visés.
Quoiqu'il en soit, la star Katy Perry ne se rendra pas à la barre pour témoigner. En effet, il se pourrait que Katie Perry regrette d'avoir lancé une procédure judiciaire. Et pour cause... Cette dernière a déposé son nom en 2008, alors que la chanteuse avait déjà acquis une grande renommée en Australie. Cela pourrait donc être assimilé à "un comportement trompeur" et "une utilisation frauduleuse" de son propre nom. Affaire à suivre...